Quoi ?

Notre histoire

Les Maisons d’Eglise sont une initiative du diocèse de Nanterre. Ouvertes à tous, elles présentent un nouveau visage d’Eglise. Elles s’implantent au cœur des nouveaux bassins de vie que sont les grands éco quartiers ou pôles d’activités pour rentrer en dialogue et répondre aux besoins du monde d’aujourd’hui. Elles veulent être à la fois des lieux d’accueil, d’écoute et de services rendus à la société, et cherchent ainsi à rejoindre nos contemporains sur des thématiques précises.

Sur le diocèse, quatre Maisons d’Eglise

Notre-Dame de Pentecôte, la première Maison d’Eglise, a ouvert en 2001 dans le quartier de la Défense. Elle se veut au service des questions de la vie économique pour remettre sans cesse l’homme en son centre.

Le Relais-chapelle Maximilien Kölbe, la deuxième Maison d’Eglise, a ouvert à Rueil-sur-Seine, le quartier d’affaire de Rueil-Malmaison. Il s’agissait pour l’Eglise d’offrir à ce quartier un lieu de halte, un espace de rencontres, un lieu pour « soigner l’intériorité » au cœur des préoccupations du monde.

La Maison de la Parole a ouvert ses portes en 2012 dans une chapelle de quartier à Meudon-sur-Seine, à proximité du quartier d’affaires de Meudon Campus. C’est un lieu de dialogue et de ressourcement avec des propositions d’expositions, de débats, de rencontres et conférences, de temps de retraites et de recherches spirituelles.

La Maison des Familles Saint-François-de-Sales, quatrième Maison d’Eglise du diocèse de Nanterre, a ouvert ses portes en 2014, sur l’emplacement des anciennes usines Renault, à Boulogne-Billancourt, dans le nouveau quartier Rives de Seine. Elle est un lieu d’accueil, de soutien et de ressources ouverts à tous sur les questions qui concernent les liens familiaux.

L’architecture

L’architecture de la Maison des Familles Saint-François-de-Sales : jeux des matériaux et de la lumière

La Maison des Familles Saint-François-de-Sales a été construite par le cabinet d’architectes Brenac et Gonzalez. « La lumière est immatérielle par nature, ses variations sont autant de richesses offertes au regard de celui qui sait voir. Le bâtiment est conçu comme une enveloppe unitaire, dont le percement filtre la lumière et les vues suivant les usages du lieu. De grandes baies sont ouvertes sur l’entrée et le hall, un patio intérieur canalise la lumière du bâti, un lattis de bois au plafond tamise la lumière transformant l’oratoire en sous-bois ombragé. Les matériaux retenus sont simples : le zinc, le béton, le verre et le bois. Par cette simplicité, nous avons voulu là encore magnifier les jeux que la lumière entendra. »
Jean-Pierre Lévêque, architecte associé du cabinet Brenac et Gonzalez.